Dans le cadre du module « S’épanouir dans la nature » proposé par Cynthia, une intervenante de la maison de la Nature de Brussey, nous avons passé la dernière matinée de l’année scolaire vêtus de K-way et de bottes en caoutchouc, épuisettes sur l’épaule à la découverte d’un espace riche mais fragile qu’est le lavoir-abreuvoir de Cottier.

Recherche de petites bêtes, construction de bateaux, course de bateaux, recherche d’éléments naturels pour décorer un dessin et sauts à pieds joints dans les flaques d’eau ! Quelle belle journée malgré la pluie pour finir cette année scolaire !

Bonnes vacances bien méritées à tous les petits explorateurs !

Mardi 29 juin, Sophie, responsable du périscolaire est venue dans la classe de Cottier pour proposer aux enfants un grand jeu qui a permis de réviser tout ce que nous avons appris durant l’année lors de notre tour du monde avec Louve.

Nous devions rechercher des objets cachés dans la classe, retrouver une image parmi d’autres et répondre à des questions.

C’était une belle idée pour clore notre projet : Merci Sophie !

Après notre escale

• en Europe avec la découverte de l’Angleterre,
• en Asie pour découvrir la Russie,
• en Amérique du Sud avec le Brésil,
• et en Afrique direction l’Egypte,
• en route pour la 5ème étape de notre voyage : l’Océanie et plus précisément l’Australie !

Louve nous a fait découvrir grâce à ses photos de vacances le pont et l’opéra de Sydney, les vagues sur lesquelles elle a pu surfer, le mont Uluru et les aborigènes jouant du Didgeridoo !

Louve avait beaucoup de chose à nous raconter.

Le papa d’Elio nous a fait découvrir le Didgeridoo : il en a apporté 2 à l’école ainsi qu’un djembé et des gaines en plastique que les enfants ont pu faire tourner pour produire un son à la manière d’une « rhombe ».

Chaque élève a décoré son boomerang avec des dessins aborigènes.

Nous avons pu enrichir notre vocabulaire grâce au rituel du coffre au trésor : nous avions plus de 25 cartes à mémoriser sur le thème de l’Australie au mois de juin !

Il y a de nombreux animaux que l’on ne trouve que là-bas, comme la fourmi à miel, le koala, le diable de Tasmanie, le kangourou et le wombat !

Les productions en arts visuels ont été riches et variées : nous avons beaucoup aimé peindre comme les aborigènes d’Australie.

Lundi 31 mai, nous sommes partis en bus, pique-nique sur le dos à la maison de la Nature de Brussey.

Le matin, nous avons eu un atelier dirigé : « La forêt mystérieuse ».

Le long d’une balade contée, sur le chemin de l’arbre à vœux, nous avons découvert l’univers féérique qu’est la forêt. L’imagination et les sens ont été mobilisés pour connecter les enfants à la nature.

Entre parcours d’équilibre et recherche de petites bêtes, la matinée a été bien remplie.

On a même construit une cabane pour le lutin Brocoli, vivant dans la forêt mystérieuse.

L’après-midi nous avons réalisé un parcours en autonomie avec les défis de Trofor le castor : sentir les herbes aromatiques, découvrir la nourriture du castor, son mode de vie…

Nos trois phasmes grandissent de jour en jour !

On reconnait bien les 2 mâles : ils ont le dos tout lisse. La femelle a le corps recouvert de piquants.

A chaque nouvelle mue, le phasme grossit !

Parfois, on a le temps d’observer cette peau vide avant qu’il ne la mange.

A la dernière mue, le mâle change radicalement d’apparence : alors qu’avant il a à peu près la même apparence que les femelles sans les piquants, à l’âge adulte, il est très facile de les différencier : le mâle possède de longues ailes qui recouvrent tout son abdomen !

Ca y’est ! Les deux mâles sont à leur dernière mue depuis le mois de juin, ils ont tous les deux de grandes ailes. La femelle devient énorme : beaucoup plus grosse que les mâles qui sont longs et fins, c’est parce qu’elle va bientôt pondre ses œufs.

D’après des recherches, il a été démontré qu’une exposition à la nature dès la petite enfance peut influencer notre propre attachement à l’environnement et impulser des comportements écocitoyens.

Ce module constitué de deux matinées en forêt avait pour ambition de permettre aux enfants de susciter l’envie de s’épanouir dans la nature, passer davantage de temps à l’extérieur pour tisser un lien émotionnel fort à la nature par des activités sensorielles et physiques simples.

Les enfants ont donc découvert la nature par des approches ludiques (construction de cabane, recherche de petites bêtes…) sensorielles (fabrication de parfum, de colorants…) imaginaires, expérimentales…

Lors d’une deuxième séance, ils ont pu manipuler différents éléments naturels (de la terre à l’arbre) pour créer (musique verte, land art, sculpture…).

Grace à ce module, ils ont pu éveiller tous leurs sens et apprendre à respecter les êtres vivants de la forêt.

Juste avant les vacances de Pâques, nous avons planté des graines de butternut et de courgette.

Les graines ont germé et les petits plants sont sortis de terre pendant les vacances.

Lorsque ces plants étaient assez grands, nous les avons plantés dans le jardin de l’école.

Depuis nous les arrosons à chaque récréation pour espérer obtenir des courgettes avant les vacances et des butternut à l’automne…

Coucou les loulous ! J’espère que votre semaine d’école à la maison se passe bien.

Louve vous a préparé un petit défi pour le dernier jour.

Tout comme Louve, vous allez essayer de momifier votre doudou avec du bandage ou des bandes découpées dans du papier toilette, de l’essuie-tout, des morceaux de tissus… A vous de jouer.

Bonnes vacances et à bientôt !

Les doudous de Lya et Aylie

Celui de Valentin

Le doudou pomme de Léa

Et celui de Clémence.

Le doudou d’Anaïs

Le doudou de Thomas

Et le chaton momifié d’Agathe !

Le papier de papyrus est un papier qui servait pour l’écriture et le dessin. Il a été utilisé surtout Égypte et autour de la Méditerranée.

Le papier de Papyrus fut probablement inventé il y a 5000 ans, en utilisant la tige de la plante de papyrus.

A l’école nous avons planté des graines de papyrus pour tenter d’observer la croissance d’une vraie plante de papyrus.

Mais en attendant qu’elle pousse, nous avons utilisé des bandelettes de compresses que nous avons découpées et tissées à la manière des Egyptiens avec leurs bandelettes de papyrus pour tenter de réaliser notre propre feuille de papyrus.

• Tissage des bandelettes découpées dans des compresses stériles.
• On recouvre le tout d’un mélange de colle à papier peint + encre brune.
• Après avoir laissé sécher

  

  

  

  
  

  

  

  

  
  

  

  
  

  48h, nous avons dessiné un scarabée sacré d’Egypte dessus.